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A partir d'un losange formé de morceaux de lièvres bleus & roses imbriqués façon « Escher » un pavage aux trois lièvres devient possible, par extension il s'adapte -en pliage- en un dodécaèdre -figure extraordinaire- qui permet une rotation à l'infini de la figure. Si le résultat offre un beau motif de trois lièvres (bleus) à oreilles communes intercalé par de petits lièvres (roses) la surprise de cette composition réside également dans l'observation des angles qui offrent un motif de deux lièvres à oreilles communes. Création Michel Terrier 1998
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[...] la rouelle est le symbole sacré le plus répandu et le plus fondamental de l'Europe pré-chrétienne. Sa signification est pourtant aujourd'hui le plus souvent ignorée. Essayons de comprendre. La rouelle est un symbole antérieur même à l'époque celtique de la Gaule et du reste de l'Europe : les sites de l'âge du bronze (2000 - 800 av. J.-C.) en livrent déjà une quantité notable. C'est pourtant à la fin de la période celtique puis à l'époque romaine que la présence des rouelles s'intensifie partout en Gaule. Elles sont découvertes le plus souvent en contexte sacré, dans des sanctuaires ou des sépultures, parfois dans des lieux plus anodins. Leur forme circulaire renvoie au soleil et effectivement, de nombreux indices montrent qu'il s'agit sans aucun doute d'un symbole solaire : la rouelle est souvent associée à d'autres symboles du même type dont la signification est claire, [...] Symbole solaire, la rouelle renvoie aussi à la conception que nos ancêtres avaient de l'espace. En effet, pour les anciens Celtes, l'univers s'organise autour d'un axe central, un arbre mythique qui soutient le firmament et joue le rôle de l'essieu autour duquel tourne la roue céleste, entraînant avec lui les astres. L'arbre est bien entendu l'équivalent de l'Yggdrasil des anciens Germains. [...]On comprend bien également pourquoi les Celtes offraient souvent des rouelles aux divinités en les suspendant à des arbres : certains arbres sacrés étaient réputés abriter des dieux et participer de l'ordre du cosmos ; offrir une rouelle, c'est participer au maintien de cet ordre et s'assurer en retour la bienveillance de la divinité. [...]A l'époque gallo-romaine, la rouelle connaît un succès constant, elle est alors souvent associée à Taranis-Jupiter, comme elle l'était d'ailleurs déjà au IIème siècle av. J.-C. sur le chaudron de Gundestrup [...] : elle symbolise alors la foudre du dieu céleste, garant de l'ordre cosmique. Cette figure est restée extrêmement vivace : elle est très fréquemment représentée sur les objets votifs, [...], et apparaît régulièrement comme l'attribut que le dieu tient dans sa main, qualifié alors traditionnellement de Jupiter (ou Taranis) à la roue. En somme, la rouelle est comme un condensé de théogonie celtique. On comprend mieux pourquoi la croix chrétienne, curieux symbole si l'on y songe bien et surtout, parfaitement ignoré des chrétiens des trois premiers siècles, eut un tel succès et prit l'importance que l'on sait dans la nouvelle religion, quand elle devint européenne. Ainsi, nos campagnes, comme ici en Bourgogne, mais aussi nos édifices religieux, offrent encore abondamment à la vue cet antique symbole sacré, dont la valeur patrimoniale et spirituelle paraît inestimable ; la rouelle, devenue "croix celtique", parsème les paysages de l'Irlande. De sorte que porter une rouelle autour du cou, en accrocher une sur le mur de sa maison, c'est devenir l'héritier d'une tradition dont les origines se confondent avec notre histoire, en particulier lorsqu'on descend de ces Gaulois qui, au tournant de notre ère, en firent le symbole même de leur identité et le signe patent de leur attachement à l'ordre du monde et de leur vif désir de s'opposer au chaos.
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Citons Lucien Bégule : "Fantaisies décoratives. — Cette série comprend des têtes feuillagées, des têtes de lion, de porc, [...] et une fantaisie qu'on retrouve à Saint-Maurice de Vienne, à la chapelle de l'hôtel de Cluny, à la chapelle souterraine de Saint-Bonnet-le-Château : c'est un groupe de quatre lièvres disposés en carré ; il y a seulement quatre oreilles sculptées et chaque lièvre paraît en avoir deux."
Sur le même portail on notera la présence de têtes feuillagées(photo bas gauche)
Le motif des quatre lièvres a été repris par Jacques Arnollet imprimeur lyonnais en 1503 (La Nef des dames de Symphorien Champier)
« Tournez et retournez et nous tournerons aussi afin qu'à chacun de vous, nous donnions du plaisir. Et lorsque vous aurez tourné, faîtes compte de nos oreilles, C'est là que, sans rien déguiser, vous trouverez une merveille. »
The secret is not great when one knows it. But it is something to one who does it. Turn and turn again and we will also turn, So that we give pleasure to each of you. And when we have turned, count our ears, It is there, without any disguise, you will find a marvel.
Biblio : Cathédrale de Lyon : 1830 - Archives historiques et statistiques du département du Rhône 1859 - Etude biographique et bibliographique sur Symphorien Champier-P Allut 1862 - Nouvelles archives de l'art français 1878 - Histoire des enseignes - Jean Daniel Blavignac p133-363-3699 1900 - Annales Dauphinoises 1904 - Bulletin de l'Association française pour l'avancement des sciences – p128 1905 - Revue archéologique – Ernest Leroux 1908 - L'art profane à l'église – Gustave Joseph Witkowski 1911 - La cathédrale de Lyon-Lucien Bégule-p68 1914 - L'église St Maurice de Vienne- Lucien Bégule – p144 1930 - Revue Archéologique XXXI– Waldemar Deonna-p28 à 33 1955 - Le moyen âge fantastique - Jurgis Baltrusaitis p132 à 139 1977 - Histoire secrète de lyon et du Lyonnais
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Juste cette photo pour mentionner plusieur rues "des trois conils" ou des trois lièvres par ex. Bordeaux ou Sarlat. Dans ce dernier cas les avis divergent : il s'agirait d'une rue à trois couvent ou...à trois maisons closes !
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